Ceux des autres, ce sont seux de l'autre. L'autre, pour qui l'amour de ses gosses est forcément acquis -qui sont la brique qui verrouille le mur entre elle et soi, ce mur qui pourtant devait se franchir par défi dans la promesse d'une vie.
Pour les lecteurs non-québécois, je tiens à préciser qu'au Québec, une gosse est un testicule. Évitez donc de dire: «Ce matin, j'ai embrassé mes gosses avant de partir au boulot.» Ça peut créer des attentes...
Ceux des autres, ce sont seux de l'autre. L'autre, pour qui l'amour de ses gosses est forcément acquis -qui sont la brique qui verrouille le mur entre elle et soi, ce mur qui pourtant devait se franchir par défi dans la promesse d'une vie.
RépondreEffacerFrantz
Pour les lecteurs non-québécois, je tiens à préciser qu'au Québec, une gosse est un testicule.
RépondreEffacerÉvitez donc de dire: «Ce matin, j'ai embrassé mes gosses avant de partir au boulot.» Ça peut créer des attentes...
...ou des tours de reins.
RépondreEffacerSo funny...
RépondreEffacerFrantz
Hors contexte, c'est drôle, on dirait presque qu'elle parlait des enfants. Pourtant, si je me souviens de la conversation... ;-P
RépondreEffacerDiane Lebel... ce nom me dit quelque chose.
RépondreEffacerSerait-ce cette fille absolument géniale dont tout le monde parle?
;o)