Des peccadilles appellent parfois des torrents alors que d'autres tristesses assèchent tout, les yeux comme les coeurs. Pleurer vaut rarement la peine.
Moi aussi je crois que pleurer vaut la peine. C'est peut-être une façons pour moi de justifier mes larmes qui ont souvent besoin de s'exprimer, mais je sais que pour moi c'est vital et que d'essayer de les retenir ne sers jamais à rien. Evangéline
Ici, je voulais jouer avec le sens de valoir (comme dans équivaloir) et non m'interroger sur la pertinence de pleurer. Loin de moi l'idée de vous enlever ce loisir...;P Comme quoi parfois, je dis des choses que je ne dis même pas alors que d'autres fois, je ne dis pas des choses que je dis. Menfin. J'me comprends.
La force de l'inconscient hein... étendez-vous M. Rondeau, parlez-nous de vos traumatismes d'enfant... À quoi vous renvoie le mot 'peccadilles' exactement!? (Je suis douée hein... faut croire que j'ai l'habitude!)
Sérieusement, avec l'autre aphorisme en haut tu donnes pas l'impression de quelqu'un qui déborde de bonheur... mais bon!
C'est vrai que vu de même, on a l'air d'un trio de pleureuses!
Faut pas toujours se fier aux apparences en écriture, sinon Brisebois et Moutier seraient de dangereux psychopathes...
Côté psychologie, je ne peux que constater ta douance, Catherine. Mais je ne me confie qu'à ceux à qui je paie le fort prix. La confidence, contrairement à l'alcool et aux chaussures à talon haut, c'est de l'économie renversée. Je te laisse analyser ça, moi j'ai mal à la tête juste d'y penser...
Rien n'est plus douloureux que pleurer du sable. On se réveille dans le désert et y'a même plus d'écho quand on veut enfin crier.
RépondreEffacerMais pleurer en vaut toujours la peine. Instinct de survivance.
Moi aussi je crois que pleurer vaut la peine. C'est peut-être une façons pour moi de justifier mes larmes qui ont souvent besoin de s'exprimer, mais je sais que pour moi c'est vital et que d'essayer de les retenir ne sers jamais à rien.
RépondreEffacerEvangéline
Les peccadilles sont souvent la goutte qui fait la rivière. Tout le reste demeure enfoui sous la terre de nos émotions.
RépondreEffacerLaisser couler les larmes c'est admettre les douleurs, même si le point de départ peut parraître futile
Ici, je voulais jouer avec le sens de valoir (comme dans équivaloir) et non m'interroger sur la pertinence de pleurer. Loin de moi l'idée de vous enlever ce loisir...;P
RépondreEffacerComme quoi parfois, je dis des choses que je ne dis même pas alors que d'autres fois, je ne dis pas des choses que je dis. Menfin. J'me comprends.
La force de l'inconscient hein... étendez-vous M. Rondeau, parlez-nous de vos traumatismes d'enfant... À quoi vous renvoie le mot 'peccadilles' exactement!? (Je suis douée hein... faut croire que j'ai l'habitude!)
RépondreEffacerSérieusement, avec l'autre aphorisme en haut tu donnes pas l'impression de quelqu'un qui déborde de bonheur... mais bon!
C'est vrai que vu de même, on a l'air d'un trio de pleureuses!
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RépondreEffacerFaut pas toujours se fier aux apparences en écriture, sinon Brisebois et Moutier seraient de dangereux psychopathes...
RépondreEffacerCôté psychologie, je ne peux que constater ta douance, Catherine. Mais je ne me confie qu'à ceux à qui je paie le fort prix. La confidence, contrairement à l'alcool et aux chaussures à talon haut, c'est de l'économie renversée. Je te laisse analyser ça, moi j'ai mal à la tête juste d'y penser...
Brisebois et Moutier SONT de dangereux psychopathes ! D'où le pseudonyme Psychopat Brisebois ! :-P
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