Quelques extraits de compos étudiantes. Pour Nouelle.
«Le monde du cinéma a connu le relâchement des films Star Wars (...)»
C'est vrai qu'ils se sont relâchés un peu...
«En 1949, l'empereur Mayo bannit le bandage des pieds en Chine.»
Cette coutume avait été instaurée par l'empereur Tomato Ketchup.
«Le père donnait des cours de piano à ses enfants et il les faisait tester toutes les fins de semaine».
Ça vaut mieux; ils ne sont plus aussi fiables que ceux de notre temps.
«Le roman de Vigneault est rempli de références musicales qui embellissent la beauté du texte.»
C'est tellement beau que ça embellit le déjà beau. C'est beau, beau, beau.
«John Wayne Bobbit est opéré dès les retrouvailles du pénis.»
C'est sûrement plus excitant que les retrouvailles des membres du club de dames de la polyvalente Euclide-Théberge cuvée 1983.
«Il la maltraitait autant sexuellement que quotidiennement.»
Il la frappait dans les parties quotidiennes.
«Le livre possède une histoire enchaînante avec des personnages attachants.»
On ne pouvait s'enlacer...
Pourrait-on enchaîner une scène déchaînée avec des personnages détachés ?
RépondreEffacerUn seul mot:
RépondreEffacerPOUAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Merci!
RépondreEffacerJ'ai tellement ri. C'est un matin-café qui commence bien.
Je trouve quand même assez poétique l'extrait qui parle de Vigneault. Ça embelli le beau... Je trouve qu'il y a quelque chose de poétique la-dedans...
Tu devrais pas être trop sévère avec lui.
Je suis sorti il y a un peu plus d'un an de la polyvalente Euclide Théberge ( ;-) ) et je prends la peine de vous informer que le club de dames n'est plus.
RépondreEffacerJ'aurais aimé t'avoir comme prof, mon cher...
RépondreEffacerAlcib: Oui, mais seulement s'il y a une suite...
RépondreEffacerMamelle: Hé! Heureux de savoir que tu es là! Alors, comment va le Portugal?
Joss: J'essaie que les notes embellissent le beau et enrayent l'erreur. Mais bon, ça se multiplie tout seul.
Nicolas: Plus de club de dames? Que reste-t-il à faire au coeur de ce bloc de briques?
Pat: Je crois que j'aurais aimé t'avoir comme étudiant, juste pour noter ta poésie, comme ils font dans les journaux culturels. Genre 3 points noirs et demi.
Je suis toujours là, chaque jour! Discrète, mais là. Je ne t'ai pas lâché d'une semelle depuis que je "t'ai retrouvé".
RépondreEffacerLe Portugal (l'île de Sao Miguel, du moins) est magnifique! Et le Portugais, toujours aussi... incroyable!
Je profite de la tribune pour te féliciter pour la petite progéniture en route. T'as pas idée combien je suis contente pour toi; je n'ai pas oublié combien tu souhaitais tellement avoir des enfants!
Euh, tu aurais un peu aimé ma poésie?
RépondreEffacerPas à l'époque. Non. J'étais trop poche. Je le suis encore d'ailleurs (mais chut faut pas le dire).
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Ceci dit, comme dit Cath : ovumogao (le code).
Quand j'ai quitté, j'ai laissé derrière moi un club vert en naissance.
RépondreEffacerEt il reste toujours la bonne vieille (très vieille) troupe de théatre.
Trop pissant!
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