Je ne sais par quel bout reprendre l'écriture, comme si j'avais à saisir un ballon de plage d'un seul doigt. Étrange impression d'être devant une tortue repliée dans sa carapace.
Il me reste qu'à attendre dans le calme qu'elle ait faim, qu'elle se pointe le bout du nez.
Quelqu'un sait imiter le cri de la laitue?
Le temps lent
RépondreEffacerLe temps qui passe
Le temps qui fuit
Aucun n'a de cri...
Suffit de laisser couler les moments
tic tac
tic trac
ça reviendra... ne t'en fais pas
Pour le cri de la laitue, je ne suis pas très bonne (d'ailleurs, je préfère la feuilles de chêne). Mais je te suggère d'emmener ta tortue faire du toboggan. Dans "Boule et Bill" (oui, je sais, quelle référence!;o), il n'y a rien de tel pour revigorer Caroline (la tortue de la famille).
RépondreEffacerLaisse les choses glisser. Quand ton coeur aura battu assez fort, tes doigts reviendront se calmer sur ton clavier.
en attendant, mon écran et moi pensons fort à toi.
Avec les tortues, il faut parfois ruser... je te conseille l'hypnose : tu pourras ainsi la convaincre qu'elle n'est PAS une tortue...
RépondreEffacerL'angoisse de la page blanche!
RépondreEffacerQu'est ce qui t'empêche d'écrire sur la carapace ?
RépondreEffacerLa laitue qu'on déchire à mains nues ou qu'on égorge sauvagement au couteau?
RépondreEffacerLaisse passer l'envie d'écrire. Fait dodo. Va te promener. Joue à faire des bébés (mais fais les pas, trop de bébés nuisent à l'écriture). Ça reviendra. Et si ça revient pas, écrit "merde, merde, merde".
En tout cas, ici, ça marche toujours le coup des trois "merde".
je suis d'accord avec l'idée des bébés.
RépondreEffacermais je reviens à celle de la salade. pas sûr que ta tortue sorte pour manger. le take-away est très en vogue, tu sauras!
va donc falloir trouver autre chose....
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RépondreEffacer:-) a dit...
RépondreEffacerDe toute manière prendre le ballon avec les mains s’est triché.
Frappe le du pied.
La tortue sort, te regarde, et mange la laitue.
Elle crie !
Écoute…
Maintenant on connaît son cri.
Imite le.
À ce moment, tu te rends compte que tu chantes mal, et tu...
Par ce que tu chantes mal, j’écris
Merci.
En sommes-nous tous atteints ? Blogueurs pourtant si inspirés... Est-ce le bonheur ? Car pour moi, c'est ce qui l'a tué. J'écris dans la tristesse; quand je souris, tout va mal. Paradoxal.
RépondreEffacerTu parles de l'écriture qui ne vient pas ou de l'ami qui ne parle pas...
RépondreEffacer....mais j'aimerais ça te voir! Je sais qu'on est supposément en mauvais termes mais on pourrait quand même parler d'écriture ensemble, non? Parce que je "commence" à avoir quelque chose à dire là-dessus. À preuve, tous mes posts sur la démocratie directe.
RépondreEffacerMais bon, va pas lire ça (bien qu'ils y en est des pas pire). Je préfère te gâcher le punch dans face :-)
(Dit-il, à poil devant son ordi).
Merci pour les trucs. Saint François d'Assise en serait jaloux et le docteur Dolittle prendrait des notes!
RépondreEffacerLyne: lis mon billet du 15 décembre dernier sur L'Art du malheur.
Marie-Ève: On est (encore) en mauvais termes? Ça fait trop longtemps qu'on s'est vus pour le dire. D'ailleurs, comment ce fait-il que ce soit un IL qui est à poil devant l'ordi? Ça fait vraiment longtemps qu'on s'est vus...
Daniel: Toi, mon espèce de psy... M'énarve! M'énarve surtout quand ça vise juste!
Je vais lire ça de ce pas :-)
RépondreEffacerC'est lu ! ...Étonnant à quel point ton esprit rejoint le mien...
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