P.S.: La fin de la fin fin de l'histoire qui se pose au conditionnel, on l'évoque souvent... et à chaque fois, je doute, je me demande pourquoi l'on tient tant à vider la mémoire, à gratter l'usure du temps, à varlopper l'histoire en marche. À ce sujet, il y a un bouquin qui secoue (qu'il me faut terminer)du philosophe italien Paolo Virno, Souvenir du présent, Éclat, 1999. C'est un livre qui appelle à vivre jusqu'au bout notre vie aux effluves d'antiquaire.
Intéressant!
RépondreEffacerP.S.: La fin de la fin fin de l'histoire qui se pose au conditionnel, on l'évoque souvent... et à chaque fois, je doute, je me demande pourquoi l'on tient tant à vider la mémoire, à gratter l'usure du temps, à varlopper l'histoire en marche. À ce sujet, il y a un bouquin qui secoue (qu'il me faut terminer)du philosophe italien Paolo Virno, Souvenir du présent, Éclat, 1999. C'est un livre qui appelle à vivre jusqu'au bout notre vie aux effluves d'antiquaire.
Quoi de plus relatif que le temps et la... vie.
RépondreEffacerIl y a certains pronoms aussi.
RépondreEffacerJe ne vois qu'une explication possible: tout a commencé par la fin des temps et nous vivons à reculons.
RépondreEffacerVoilà pourquoi le monde semble souvent à l'envers...
Ça fait tellement génération X que d'essayer d'expliquer les trucs aussi ridicules que la vie et le reste.
RépondreEffacerVirginie Larivière... celle à qui je pense là??
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